Projet PAPU House: le PCA de l’UPAP satisfait de l’évolution des travaux
Projet PAPU House: le PCA de l’UPAP satisfait de l’évolution des travaux
Présent à Arusha, en Tanzanie, dans le cadre de la cérémonie de passation de service entre les nouveaux et anciens dirigeants du Secrétariat général, le président du Conseil d’administration de l’Union panafricaine des Postes (UPAP) a effectué une visite du chantier de construction de l’immeuble-siège de l’Organisation. En compagnie de la Secrétaire général ajointe de l’UPAP, Mme Sseengooba Jessica, M. Isaac Gnamba-Yao, par ailleurs directeur général de la Poste de Côte d’ivoire, s’est dit très impressionné non seulement par l’envergure du projet, et rassuré par l’évolution des travaux. Il a adressé ses félicitations à l’équipe de construction conduite par l’ingénieur Hanington Kagiraki et les a encouragés à mettre tout en œuvre pour que les travaux soient livrés à temps, c’est-à-dire au mois de juin de 2022. Il a par ailleurs exhorté le Secrétariat général de l’UPAP à suivre de près ce projet qui tient à cœur à l’ensemble des 45 Etats membres de l’Union.
Il faut noter que le nouvel Immeuble-siège de l’UPAP comportera dix-sept (17 étages), l’édifice le plus haut d’Arusha, et une fois achevé, abritera également les locaux du régulateur tanzanien en charge des Postes (TCRA) – actionnaire à hauteur de 40% – ainsi que des locaux commerciaux, des salles de conférence, des centres de formation, des centres commerciaux, des établissements bancaires, etc. L’UPAP détient 60% du capital.
L’Union panafricaine des postes (UPAP), institution spécialisée de l’Union africaine (UA) a été créée en 1980 suite à une décision de la Conférence des plénipotentiaires réunissant 35 pays membres de l’OUA du 8 au 18 janvier 1980, à Arusha en République Unie de Tanzanie. Avec son siège à Arusha, l’UPAP qui comptait 35 Etats membres à sa création compte présentement 45 Etats membres. Le but visé par la création de l’Union est la coordination des activités de développement des services postaux en Afrique.